L'humanité se trouve à un stade où deux possibilités concernant son avenir sur Terre s'offrent à elle. Les hommes peuvent soit enfin se décider à agir en prenant des mesures à une échelle globale concernant l'environnement et espérer conserver une planète saine. Soit, au contraire, ils décident de continuer à ignorer la menace que leurs activités font peser sur cette dernière, qui finira alors par dépérir. Ces deux alternatives trouveront un écho lors de la COP28 qui aura lieu fin 2023 et qui pourrait permettre le vote de mesures contre le dérèglement climatique mais qui sera présidée par le patron du géant pétrolier des Emirats arabes unis...Notre planète est représentée à travers la figure d'une femme, symbole de la vie sur terre, séparée en deux parties. La 1ère fait corps avec la nature et arbore un air serein : c'est le scénario optimiste d'un futur où la biodiversité serait abondante. L'autre est un squelette, représentant le scénario inverse et la mort de la nature.
Pour réaliser cette illustration, j'ai commencé par noter sur une feuille toutes les idées qui venaient à l'esprit, sous forme de mots aussi bien que de croquis rapides. J'ai fini par me décider sur ce que je voulais faire, et après avoir exploré différentes façons de représenter ce que j'avais en tête (toujours au brouillon), j'ai cherché plusieurs références sur lesquelles m'appuyer pour exécuter au mieux mon idée. J'ai ensuite dessiné mon personnage au crayon sur une feuille au propre, avant d'appliquer la couleur - j'ai utilisé des marqueurs à alcool pour pouvoir superposer les couches et donner de la profondeur à l'illustration. J'ai finalisé avec des feutres posca pour les fleurs. J'ai appris différentes choses grâce à ce projet : à la fois à mieux contrôler mon utilisation des couleurs mais aussi à me laisser entraîner par les idées au fil du processus (j'ai rajouté différents éléments au fur et à mesure selon mon inspiration).
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