Elle
Tandis que l'eau ruisselle,
Depuis ses sommets, la montagne se fait belle.
En hiver, elle se couvre d'une belle,
Veste blanche et duveteuse.
Le blanc remplace les saisons pluvieuses.
L'hiver c'est d'une blancheur qu'elle est couverte.
Au printemps ses sentiers et plaines sont vertes.
Le gris du ciel quand il pleut.
La transparence de l'eau bleue.
En été, le soleil et la chaleur s'abattent sur ses,
Sommets très prisés.
Frôlant les herbes, la nature, ce goût de liberté,
Par les chemins arpentés.
En automne, les feuilles tombent,
Les couleurs deviennent ternes,
Le froid vient en trombe,
Cette saison annonce l'hiver.
On y va pour les couleurs,
Y laisser là-bas nos douleurs.
On y va pour la vue, le paysage,
Cette carte postale qui ne prendra jamais d'âge.
Et à travers les générations, ce lieu attire,
Mais vu sa grandeur et l'Homme, il risque de partir.
Ce lieu peut être tout et rien,
Lieu imaginaire ou idylle sans fin.
Humains,
De cette Terre prenons en soin.
Dans un futur proche,
Je voudrais encore contempler les étoiles.
Cette idée je m'y accroche,
J'aimerai que ces paysages deviennent de belles toiles.
Ce poème comme un hymne,
Je veux le voir fleurir,
Aux yeux de tous, le voir parcourir,
La Terre, le ciel, jusqu'à la flore marine.
Je veux que mes enfants puissent voir des pandas,
Et la voie lactée, surmontant cet immense panorama.
Un regard vers le monde,
Et nous comprenons que la Terre pleure.
Alors comme une onde,
Aidons la à retrouver ses couleurs, telle une fleur.
De petites habitudes, peuvent faire de grands changements.
Levons la tête et regardons l'avenir, à ce futur pollué on lui dit "nan".
Ce rêve, transformons le en réalité,
Agissons, pour que le monde de demain soit à notre porté.
La Terre est notre lieu de vie,
Elle est la source de nos idées, nos envies.
J'aimerai partager au monde ces associations, ces fondations pour la sauver,
Car elle s'éteint à petit feu, elle n'est plus ce qu'elle était.
Je participe aussi car j'ai bien aimé cette idée de "créations",
S'exprimer avec l'art et agir à l'unisson.
Alors merci,
De lui redonner vie.
Je me suis remémorer ces moments passés dehors, à contempler la montagne, les champs, le ciel, l'océan,...
Puis instinctivement, les mots sont apparus, et se sont dessinés sur le papier, mais sans une certaine amie, je n'aurai jamais eu vent de ce concours.
Partager sur les réseaux sociaux