L'objectif est d'alerter sur le dérèglement climatique, sur l'angoisse que l'on peut avoir dans ce monde où tout semble partir de travers. Prôner la nécessité de revoir l'ordre des priorités, de faire passer la préservation des océans, des forêts, des espèces animales avant d'autres considérations moins importantes et néfastes. On ne peut pas vivre dans une terre envahie de plastiques. On ne peut pas s'accommoder aux bruits des bombes, ni aux fumées des forêts brûlées.Et surtout, le message de cette chanson est que c'est possible, que l'on peut agir et faire entendre nos voix. Il y a déjà beaucoup d'associations qui luttent pour améliorer les conditions de vie sur cette planète et ce n'est que le début. Chacun individuellement on peut agir à sa façon. Et c'est ce que j'ai essayé de faire avec cette chanson : agir, même un petit peu, pour prendre conscience de l'importance de garder une planète bleue et imprégnée d'un air pur. On doit respirer, et on va respirer.
Pour créer cette chanson, j'ai d'abord commencé par chercher une mélodie. Je m'étais au préalable documenté sur les enjeux climatiques. j'ai également écouté d'autres chansons qui abordaient ce thème et qui étaient partagées sur l'Instagram du concours résonances comme par exemple la chanson SAV de Suzane. Après avoir trouvé une mélodie, Il fallait faire les paroles. Je me suis aidée des exercices que j'avais faits avec l'atelier organisé par "le bruit qui court" sur l'écriture. J'ai d'abord noté mes cauchemars et ensuite mes espérances pour l'avenir. je savais ainsi de quoi je voulais parler dans ma chanson. J'ai commencé par prendre les premières paroles de la Marseillaise puis j'ai ensuite essayé de construire un texte en abordant différents thèmes. Les paroles terminées, il fallait faire la version instrumentale à l'ordinateur.Enfin, une fois l'instrumentale terminée, j'ai enregistré ma voix dessus. Il faut ensuite faire le mixage pour essayer d'obtenir une version correcte.
Partager sur les réseaux sociaux